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Posté le: 15/07/2011, 19:00 Sujet du message: Publicité |
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codexx NOUVEAU MEMBRE

Hors ligne
Inscrit le: 15 Juil 2011 Messages: 3 maroc étudiant  Licence: 
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Posté le: 16/07/2011, 13:21 Sujet du message: re |
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le moteur est à chaque fois rebobine ,pour l'alimentation c'est à travers une resistance variable!voile l'explication:
Les appareils constituant l’équipement des locomotives électriques se composent principalement de trois installations : 1. Le circuit de puissance et de traction. 2. Les circuits de commande. 3. Les circuits des auxiliaires. Bien que pouvoir être traitées indépendamment, ces trois installations sont étroitement liées dans l’ensemble du fonctionnement. 1. Le circuit de puissance et de traction : a. Le circuit de puissance : Il est alimenté par une tension continue de 3000V par l’intermédiaire des pantographes. Il est branché aux différents circuits par combinaison pneumatique des arbres à came de commutation. Les principaux éléments de ce circuit sont :
Les Pantographes : Un pantographe est un bras conducteur positionné sur le toit d’une locomotive électrique. Il transmet le courant aux moteurs de traction par l’intermédiaire de l’archet frottant sur la caténaire. Le pantographe est relié à un disjoncteur principal qui distribue le courant au circuit de traction.
Le Disjoncteur Principal : Il est utilisé dans le circuit d’alimentation, de la locomotive pour protéger les organes du circuit de puissance, et du circuit auxiliaire contre les surtensions, les baisses de tension, les surcharges, les masses et tout autre disfonctionnement. Il est à commande électropneumatique. Il est équipé d’un système de déclenchement électromagnétique qui commande l’ouverture du contacteur disjoncteur en cas d’un accroissement accidentel de l’intensité qui parcourt le circuit, sur lequel est placé.
Les Contacteurs de Ligne : Ils permettent d’alimenter les moteurs de traction à travers le rhéostat de démarrage.
Le Rhéostat de Démarrage : Il limite le courant au démarrage et permet d’augmenter progressivement la tension aux bornes des moteurs traction et par conséquent la vitesse de locomotive.
Les Contacteurs de Résistances de Démarrage : Ils permettent de shunter et de mettre en service les portions de résistances de démarrage.
Les Contacteurs de Transition : Ils permettent de modifier le couplage des moteurs traction, (couplage en série, couplage en séries parallèles et couplage en parallèle).
L’Inverseur de Marche : Comme son nom l’indique cet organe permet d’inverser le sens du courant dans les inducteurs des moteurs de traction et par conséquent le sens de rotation, ce qui se traduit par une inversion du sens de marche de la locomotive.
Les Contacteurs et les Résistances de Shunt Age : Ils permettent de réduire le courant dans les inducteurs des moteurs traction et par conséquent d’augmenter la vitesse de rotation de ces derniers, d’où la vitesse de la machine.
Les Relais de Protection : Leur rôle est de protéger les différents circuits de la machine contre les surtensions ligne, les baisses de tensions ligne, les masses dans le circuit de puissance et le circuit auxiliaire, les surcharges, le patinage, etc.
Le Moteur à Courant Continue et à Excitation en Série : Le bobinage du stator (inducteur) du moteur de traction est relié au bobinage du rotor (induit). La locomotive présente les possibilités suivantes :
La disposition des moteurs soit en série soit en parallèle.
La variation du courant dans chaque branche moteur au moyen de deux rhéostats placés en série.
Le shunt age des moteurs en plusieurs crans.
Le sens de marche en avant ou en arrière, est obtenu en orientant le sens du courant électrique dans le bobinage inducteur par rapport à l’induit.
Les sectionneurs d’isolement : Ils permettent d’isoler les deux moteurs d’un même bogie en cas d’avarie à l’un d’eux, et d’assurer le fonctionnement de la locomotive avec les deux moteurs restants.
b. Circuit de traction : C’est un circuit à haute tension dont les appareils ont pour rôle de faire varier ou d’interrompre la distribution du Courant afin de permettre les différentes régimes de marche des moteurs de traction. Les inducteurs du moteur de traction sont des bobines plates constituées par des enroulements de fil de cuivre. Elles sont soigneusement isolées et munies de bornes de branchement. Les bobines sont disposées autour des masses métalliques feuilletées fixées à la carcasse :
Les pôles inducteurs Les pôles inducteurs principaux se font toujours face suivant un diamètre.
Les pôles auxiliaires sont des pôles de petites dimensions non feuilletés placés entre les pôles principaux. L’alimentation électrique de l’induit (rotor) est assurée par l’intermédiaire des balais en charbon qui frottent sur le collecteur. Ce dernier, une fois traversé par le courant, produit un champ magnétique inducteur dont le sens dépend du sens du courant et du sens d’enroulement. Les pôles inducteurs présentent successivement des pôles nord et sud vers l’intérieur du stator. Sous chaque pôle principal, des conducteurs d’induit sont placés dans le champ magnétique inducteur. Lorsqu’ils sont parcourus par un courant, il se crée des forces électromagnétiques qui font tourner l’induit. NB : les moteurs de traction des locomotives sont des série, c’est-à-dire, les inducteurs et l’induit sont parcourus par le même courant. Lorsqu’un moteur tourne, il se crée dans l’induit une force électromotrice induite due au déplacement des conducteurs induits dans le champ inducteur. Cette force électromotrice s’oppose à la tension appliquée aux bornes du moteur ; pour cela, elle est appelée force contre électromotrice. Pendant la rotation de l’induit du moteur, chaque fois qu’un balai change de s de collecteur, le courant s’inverse dans la bobine d’induit branchée sur cette , cette opération est dite commutation. L’augmentation de la vitesse est obtenue en augmentant la tension aux bornes du moteur, cette augmentation doit être suffisamment lente pour que l’intensité ne dépasse pas le maximum permis. 2. Les circuits de commande : Alimenté par des batteries, il sert à alimenter à son tour les circuits de commande de la locomotive, et les circuits de commande des voitures à voyageurs. Il contient les éléments suivants :
Un manipulateur dans chaque poste de conduite.
Un détecteur des courants des moteurs de traction.
Un arbre à came principal, un arbre à came vernier.
Un arbre à came de commutation traction freinage.
Une électrovalve de commande des contacteurs électropneumatiques.
Relais de commande.
Des lampes de signalisation, des interrupteurs.
Les appareils de mesure (manomètres, voltmètre, ampèremètre…) Il s’agit d’un ensemble d’organes ayant pour rôles de :
Permettre le contrôle à distance des appareils du circuit de traction.
Permettre à tout instant la surveillance de la bonne marche de la locomotive.
Protéger automatiquement l’installation électrique de la locomotive en coupant le courant en cas d’anomalie susceptible d’endommager le système. NB : Les appareils qui constituent ces circuits sont généralement alimentés par une basse tension. 3. Les circuits des auxiliaires : Il est alimenté par une tension de 380V délivrée par un groupe moteur générateur pour les anciennes machines, ou par un convertisseur statique pour les nouvelles machines. Ce circuit comprend les organes auxiliaires suivants :
Un groupe moteur générateur ou un convertisseur statique.
Les ventilateurs pour refroidir les résistances de démarrage.
Les ventilateurs pour refroidir les moteurs de traction.
Les compresseurs (au nombre de deux), qui donnent de l’énergie pneumatique nécessaire pour actionner les différents organes pneumatiques (les freins par exemple).
Le chargeur de batteries. |
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